Accompagnement en classe

Accès directs :


Actions d’accompagnement en classe proposées par l’ACRIRA

Modalités : Chaque classe peut prétendre à une intervention par année scolaire prise en charge par la coordination. Seuls les ateliers proposés par l’Institut Lumière restent à la charge des établissements (75€).

Réservations auprès de la coordination : via le Formulaire de réservation en ligne : cliquez-ici

Ou par mail (lyceens@acrira.org) en proposant deux créneaux possibles (dates et horaires), et le niveau et effectif de la classe concernée.

Les premières interventions démarrent au plus tôt à 9h, certains des intervenants venant de loin.

Télécharger le catalogue des actions proposées par l’AcrirA


Classes d’analyse filmique

Les classes d’analyse sont organisées dans les lycées, dans les jours ou la semaine suivant la projection d’un film en salle. Elles ont pour objectif de compléter le visionnage des œuvres programmées d’une approche culturelle et stylistique. Elles sont effectuées par des universitaires, des responsables de section cinéma et audio-visuel, des formateurs de l’Éducation Nationale, des historiens du cinéma, des professionnels ou critiques de cinéma.

  • Effectif maximum : 60 élèves – Public : toutes classes et tous niveaux
  • Déroulement : sessions de 1h30 ou 2h à définir au moment de l’inscription

 

> SPÉCIAL SÉRIE : DAVID LYNCH – DE ELEPHANT MAN À TWINK PEAKS

La classe d’analyse filmique du film Elephant Man fera l’objet d’une analyse de la série Twin Peaks de David Lynch. Cette intervention vise notamment à montrer les différences et similitudes entre l’écriture cinématographique et l’écriture sérielle, qui répond à d’autres enjeux.

  • Effectif maximum : 60 élèves Public : classes tous niveaux (ayant vu Elephant man au cinéma)
  • Déroulement : 2h à définir au moment de l’inscription

 


« Question de cinéma – la séquence d’ouverture »

 

Les « Questions de cinéma » sont des interventions organisées dans les établissements scolaires pour permettre aux élèves d’étudier une thématique cinématographique au travers de différents extraits de films. Elles sont effectuées par des universitaires, des responsables de section cinéma et audio-visuel, des formateurs de l’Éducation Nationale, des historiens du cinéma, des professionnels ou critiques de cinéma. Elles ont pour objectif d’ouvrir le regard des élèves sur une thématique précise et de les assurer dans une position de spectateur actif et curieux.

 

« Question de cinéma : la séquence d’ouverture » : cette intervention explore et analyse les fonctions de la séquence d’ouverture dans l’histoire du cinéma. Chaque intervenant apporte son regard et sa spécialité sur cette thématique.

  • Effectif maximum : 60 élèves – Public : toutes classes et tous niveaux
  • Déroulement : sessions de 1h, 1h30 ou 2h à définir au moment de l’inscription

Atelier « Très court métrage »

Atelier produit et proposé par Archipel  Cet atelier consiste en la réalisation d’un très court métrage en trois ou quatre plans maximum par les élèves, accompagnés par un intervenant artistique. Nous aborderons, dans un premier temps, de manière théorique, un élément du langage cinématographique : les différents types de raccords. Les élèves réaliseront ensuite quelques plans afin de s’approprier l’utilisation des raccords. L’intervenant les initiera au matériel audiovisuel, leur transmettra des consignes de réalisation et  échangera avec eux sur la manière de concrétiser ces consignes. Une façon de s’approprier le langage cinématographique par une expérience directe !

 

Objectifs pédagogiques : s’initier au langage cinématographique, enrichir sa culture cinématographique, pratiquer le cinéma, expérimenter un processus créatif et œuvrer collectivement

Le montage sera effectué par l’intervenant en aval. Une fois terminé, le film monté sera envoyé aux enseignants pour une diffusion en classe qui pourra être suivi d’un échange.

  • Effectif maximum : 15 élèves – Public : toutes classes et tous niveaux
  • Durée : 2h

Atelier « Arrêt sur image : photographie d’une scène de film »

Atelier produit et proposé par Archipel 

 

À partir de photogrammes extraits du court métrage Gagarine (programme Nouvelles terriennes), les élèves vont créer un « effet spatial ». Accompagnés par un intervenant artistique photographe professionnel, ils analysent la mise en scène (position des acteurs, expressions), les éléments de décors et accessoires, la lumière et le cadrage (échelle de plan, angle de vue…) d’une image volontairement déformée de la réalité afin d’en donner un sens nouveau. Ils se saisissent ensuite de cet univers pour recréer, dans leur environnement, cette dissonance, grâce aux outils et aux techniques photographique. S’ils le peuvent, il reconstituent le décors, les costume et l’attitude des acteurs, ainsi que l’éclairage pour reproduire le plus fidèlement possible l’un des photogramme. Il peuvent également inventer une autre photo immédiatement inspirée de l’univers spatial, prise dans l’établissement scolaire.

    L’atelier est un moyen pour les élèves de s’interroger sur la présence de la photographie dans le cinéma, et la manière de retranscrire concrètement, techniquement, en image, le fruit de l’imagination des scénaristes. Il permet également de comprendre comment une image figurative peut être déformée de la réalité pour servir un propos.

Objectifs pédagogiques : prolonger l’expérience de la salle par la pratique, s’approprier le langage audiovisuel par une démarche active, s’initier aux outils audiovisuels, découvrir les postes d’une équipe de tournage et comprendre le rôle de chacun.

  • Effectif maximum : 15 élèves – Public : toutes classes et tous niveaux
  • Durée : 2h

Ateliers d’initiation au montage avec la Table Mash’Up

Ateliers proposés par l’AcrirA, les Maisons de l’Image d’Aubenas et Grenoble, les Ateliers de la Rétine et Archipel.

 

Cette « table de montage », au sens premier du terme, permet de mixer en direct des extrait vidéos, des musiques et des bruitages, le tout par le biais de simples cartes !

Mot anglais, « Mashup » pourrait se traduire littéralement par “faire de la purée”. Il s’agit d’un montage d’images et de sons tirés de diverses sources, et qui sont copiés, collés, découpés, transformés, mixés, assemblés, pour créer une nouvelle œuvre.

Le Mashup connait un succès grandissant notamment en raison du développement des outils informatiques et de l’accès à des contenus préexistants. Il explore les

nouvelles pratiques de création audiovisuelle et a vu l’émergence d’une multiplicité d’œuvres inventives.

Cette technique est un excellent moyen d’initiation permettant aux jeunes de se réapproprier des images de façon nouvelle et d’appréhender la création et le montage de manière décomplexée.

  • Effectif maximum : 15 élèves – Public : toutes classes et tous niveaux
  • Déroulement : sessions de 1h30 ou 2h à définir au moment de l’inscription
  • Intervenant : Maisons de l’image d’Aubenas, de Grenoble, les Ateliers de la Rétine ou Archipel

Nouveauté 2022/2023 :

Suspense : En partenariat avec Archipel, la coordination vous propose un atelier MashUp sur le suspense au cinéma. En plus de l’initiation au montage, les élèves créeront leur propre séquence de suspenseà partir d’un corpus de plans et de sons, majoritairement d’extraits de films réalisés par Alfred Hitchcock et certains de ses admirateurs, mis à leur disposition.

Durée conseillée : 2 heures

 

 

Le Monstre au cinéma : En partenariat avec Archipel, la coordination vous propose un atelier MashUp sur le monstre et la peur au cinéma. En plus de l’initiation au montage, les élèves créeront leur propre séquence jouant sur l’apparition du monstre à partir d’un corpus d’extraits de films tels que The Host, Alien, Elephant Man, Rencontres du 3ème type

Durée conseillée : 2 heures

Atelier à programmer après la séance.

 

 


Atelier : Sensibilisation à la place de la musique au cinéma

Atelier produit et proposé par L’Équipée à Bourg-Lès-Valence.

L’objectif est d’apprendre à écouter et découvrir les fonctions, et leurs évolutions, de la musique au cinéma en appréhendant les quatre procédés sonores fondamentaux :

– la musique illustrative (aussi appelée « Mickeymousing », elle accompagne et appuie les mouvements visibles à l’image),

– la musique thématique (de James Bond à La Guerre des étoiles, les plus grandes sagas ont leurs musiques thématiques, facilement identifiables par petits et grands),

– la musique symbolique (la musique des sentiments, peur, joie, l’émotion est à son comble),

– la musique narrative (le cinéma raconte souvent des histoires et la musique y prend part en devenant un instrument de narration)

  • Effectif maximum : 35 élèves – Public : toutes classes et tous niveaux
  • Déroulement : sessions de 2h ou 3h. Deux sessions au maximum dans la même journée.
  • Intervenant : Nathanaël Bergèse, directeur artistique, compositeur et Julie Piffaut-Leheutre, compositrice, flutiste et violoncelliste.

Atelier : La Fabrication de la bande son d’un film d’animation

Atelier produit et proposé par L’Équipée à Bourg-Lès-Valence. 

Nouveauté 2022/2023 : Cet atelier a pour objectif de faire découvrir de façon ludique et interactive toutes les étapes de fabrication de la bande sonore d’un film animé, de la création de l’ambiance sonore générale aux bruitages, en passant par la technique du mixage.

L’intervention s’attache à fournir les clefs de compréhension d’un environnement sonore puis à appréhender par l’expérimentation le processus de fabrication de la bande son d’un film. Pour cela les élèves seront amenés à analyser l’environnement sonore du court métrage Bach-Hông de Elsa Duhamel en se laissant guider par leur ressenti, à faire la distinction entre musique, bruitages, dialogues et ambiance sonore, et enfin à la réalisation de bruitages à partir d’objets détournés de leur fonction.

 

  • Effectif maximum : 35 élèves – Public : toutes classes et tous niveaux
  • Déroulement : durée : 2h (prévoir 1h d’installation). Deux sessions maximum dans la journée.
  • Intervenant : Flavien Van Haezevelde, créateur de bande sonore et monteur

 

 


Atelier Normes/Hors normes : boîte à outils d’analyse

Atelier produit et proposé par LUX Scène nationale.

Nouveauté 2022/2023 : À travers plusieurs extraits de films, cet atelier invite à interroger les spécificités du cinéma, ses contenus esthétiques et formels. Si le cinéma garde une place centrale lorsqu’il s’agit de montrer, ressentir et faire entendre le réel, et qu’il s’affranchit souvent de la norme, il se soumet également à des codifications spécifiques (genres, formats, moyens de production). Les questions de cinéma seront adossées à des questions sociales permettant ainsi d’aborder les normalisations et ses échappées. Un ou deux axes sont explorés, au choix parmi :
– les femmes au cinéma
– l’altérité
– le genre (question identitaire et genre de film)
– l’adolescence

Objectif : L’atelier a pour objectif principal d’élaborer une petite boîte à outils d’analyse. Il s’agit d’accompagner les bénéficiaires dans la prise de distance par rapport à la narration, de redonner une curiosité, de nourrir la culture, un esprit critique et une pensée face aux images.

Déroulement : – Première partie (3 heures) : projection d’extraits des films, dialogue avec les élèves et connaissances apportées par l’intervenant. La séance se construit avant tout dans un échange entre les élèves et l’intervenant : ce dernier part de leurs paroles ou impressions pour construire la séance.

Deuxième partie participative (1 heure) : A partir d’un corpus de 80 images issues de l’Histoire de l’Art (photos, peintures, dessins, bandes-dessinées),
les élèves, par groupes de 4, inventent l’idée originale d’un film de fiction en s’appuyant sur les problématiques évoquées plus tôt.
Chaque groupe propose quelques lignes qui seraient le début d’un film possible, reposant sur la notion de norme et de l’affranchissement des normes. Les images pourront être recadrées (redéfinir un cadre autre que celui proposé par l’artiste), ou elles pourront être utilisées telle quelle. Les élèves pourront choisir deux ou trois images et les feront co-exister pour déclencher leur imagination. L’atelier se termine par une mise en commun : chaque groupe désigne un rapporteur qui viendra pitcher à l’oral le début du film inventé par le groupe.

  • Effectif maximum : 35 élèves – Public : toutes classes et tous niveaux
  • Durée : 4h comprenant un temps participatif
  • Intervenant : Stéphane Collin, enseignant de cinéma et intervenant en ateliers d’éducation aux images

 


Ateliers proposés par l’Institut Lumière

Quatre ateliers produits et proposés par L’Institut Lumière à Lyon

1/ – L’École du spectateur –

À l’heure où les jeunes sont abreuvés d’images de toutes sortes, il paraît nécessaire de les faire accéder facilement et par des exemples concrets aux principaux outils de l’écriture du cinéma. L’intervenant se déplace donc dans les établissements scolaires pour présenter aux élèves les principes de base de l’écriture cinématographique. L’objectif est de structurer l’attention visuelle et auditive des élèves et de donner à chacun d’entre eux une capacité de description applicable à tout document audiovisuel.

L’enseignant reçoit deux fiches qui récapitulent le vocabulaire appris pendant la séance.

  • Effectif maximum : 90 élèves – Public : toutes classes et tous niveaux
  • Durée et déroulement : 2 heures + atelier supplémentaire de 2 heures en option. Maximum 2 ateliers dans une journée, un par matinée et un par après-midi, à partir de 10h.
  • Coût : 75€ par atelier de 2 heures à la charge des établissements scolaires
  • Intervenant : intervenant du service pédagogique de l’Institut Lumière

2/ – La publicité : les techniques de manipulation –

Il s’agit de développer chez les élèves des réflexes leur permettant d’échapper à la manipulation publicitaire. On étudie des techniques structurelles et on les applique à une multitude de messages. Les élèves travaillent de manière intensive sur des exemples concrets destinés à leur faire prendre conscience de la force de la publicité.

L’enseignant reçoit une fiche récapitulative de la séance.

  • Effectif maximum : 90 élèves – Public : toutes classes et tous niveaux
  • Durée et déroulement : 2 heures + atelier supplémentaire de 2 heures en option. Maximum 2 ateliers dans une journée, un par matinée et un par après-midi, à partir de 10h.
  • Coût : 75€ par atelier de 2 heures à la charge des établissements scolaires
  • Intervenant : intervenant du service pédagogique de l’Institut Lumière

3/ – Les dangers d’internet –

Pendant le confinement, l’usage des écrans s’est multiplié chez les jeunes. L’Institut Lumière vous propose de restructurer leur attention. Internet est devenu aujourd’hui un outil d’usage intensif chez les jeunes par l’intermédiaire de l’ordinateur et surtout des smartphones. Le but est de définir internet avec ses principaux acteurs et leurs modes de fonctionnement. Comment notre cerveau réagit ? Les principaux pièges posés par les algorithmes, les fakes news et ce qui en découle seront expliqués et analysés avec les élèves.
Sur la base d’exercices vidéo et écrits les élèves obtiendront des outils leur permettant de s’informer
correctement pour surfer avec plus de sécurité. En bonus une astuce sera dévoilée pour éviter que les
portables se transforment en insupportable.

L’enseignant reçoit une fiche récapitulative à la fin de la séance.

  • Effectif maximum : 90 élèves – Public : toutes classes et tous niveaux
  • Durée et déroulement : 2 heures. Maximum 2 ateliers dans une journée, un par matinée et un par après-midi, à partir de 10h.
  • Coût : 75€ par atelier de 2 heures à la charge des établissements scolaires
  • Intervenant : intervenant du service pédagogique de l’Institut Lumière

4/ – La Propagande du cinéma à internet –

Le Triomphe de la volonté de Leni Riefenstahl (1935)

L’atelier propose une série d’échanges avec les jeunes autour de la grammaire du cinéma, allant des années 1930 avec la propagande nazie jusqu’à nos jours avec Internet. Les jeunes sont conviés à une série d’exercices et d’exemples par l’image pour leur donner les codes de décryptage de la propagande. Le but étant le suivant : toutes les images, lorsqu’elles sont décodées, deviennent inoffensives.

 

 

Captain America: First Avenger de Joe Johnston (2011)

À partir de séquences de Thomas Edison, Leni Riefenstahl, Lev Koulechov ou plus récemment avec Clint Eastwood ou les films de super héros, les élèves se confronteront aussi aux pièges de la manipulation par le biais de documents de manifestations puisés dans YouTube. Avec des projections de vidéos plus actuelles et issues du quotidien d’un adolescent, cette dernière partie de l’animation propose de se confronter à une manipulation moins évidente mais tout aussi dangereuse…

 

 

  • Effectif maximum : 90 élèves – Public : toutes classes et tous niveaux
  • Durée et déroulement : 2 heures. Maximum 3 ateliers dans une journée, à partir de 10h.
  • Coût : 75€ par atelier de 2 heures à la charge des établissements scolaires
  • Intervenante : intervenante du service pédagogique de l’Institut Lumière

Rencontres avec des professionnels

Les rencontres avec des professionnels du cinéma sont également proposées, de façon plus épisodique et en fonction des films programmés. Ces professionnels sont généralement des techniciens ayant travaillés sur l’un des films au programme du dispositif.

L’objectif est de proposer aux élèves des rencontres avec des professionnels (scénaristes, réalisateurs, acteurs, techniciens etc…). Ces rencontres sont soumises aux aléas de l’emploi du temps des professionnels. La coordination vous indiquera les films sur lesquels cet accompagnement est proposé.

 

 

  • Effectif maximum : 60 élèves – Public : toutes classes et tous niveaux
  • Déroulement : sessions de 2h ou plus, à définir au moment de l’inscription, dans la salle de cinéma à l’issue de la projection d’un film ou dans l’établissement scolaire.

Courts en classe

Découverte d’un court métrage en classe accompagnée d’un intervenant professionnel de la région. Différents « talents » et professionnels du cinéma locaux pourront accompagner les courts : réalisateurs, scénaristes, ingénieur son, animateur, mais aussi des exploitants, programmateurs, distributeurs ou responsables de festivals. L’objectif est double : accompagner et mettre en avant le vivier d’auteurs et professionnels régionaux d’une part, et faire découvrir les différents métiers du cinéma d’autre part. Cette action répond à une nécessité de recréer du lien social entre les élèves, les œuvres et leurs créateurs.

 

  • Effectif maximum : 60 élèves – Public : toutes classes et tous niveaux
  • Déroulement : sessions de 1h30 ou 2h, à définir au moment de l’inscription.

Expositions thématiques itinérantes

Conçues par l’AcrirA, elles permettent d’aborder de nombreuses thématiques telles que :

  • Les femmes au cinéma
  • Le cinéma documentaire
  • Les métiers du cinéma
  • Cinéma et bande dessinée
  • Ken Loach
  • Le Road Movie

Catalogue des expositions

Elles sont composées de plusieurs panneaux mesurant 80×200 cm sous formes de bâches fixées sur une structure légère. Ainsi, elles peuvent être exposées dans les CDI, salles de classe, foyers … pour en faire profiter les élèves.

(Structure légère en fibre de carbone et facile au montage, visuel sur bâche de 80 x 200 cm avec oeillets, mise en place rapide par tension du visuel, usage intérieur uniquement)

Réservation : en envoyant le formulaire de réservation à télécharger complété par mail à administration@acrira.org.

Les réservations et le transport sont entièrement pris en charge. Merci de prendre soin du matériel et de le laisser sous surveillance.

La location est gratuite pour une durée de 3 semaines consécutives par exposition, et dans la limite de 2 expositions par établissement et par année scolaire.

 


Actions proposées par Sauve qui peut le court métrage


Interventions en classe : Langage cinématographique, analyse et histoire du cinéma.

– Analyse filmique
– Le hors-champ dans les films
– Le son dans les films
– Eléments de langage cinématographique à travers les films au programme
– Les combinaisons audiovisuelles dans les films au programme, codes et enjeux
– La narration filmique dans les films au programme, de l’histoire au récit filmique
– Les lanternes magiques
– Atelier critique vidéo

  • Public : Lycéens
  • Effectif maximum : 1 à 2 classes.
  • Déroulement : 2 heures

Pour toute information contacter :
Jérôme Ters : j.ters@clermont-filmfest.org – 04 73 14 73 13


Intervention : Un court métrage et son réalisateur.

Interventions en classe avec la diffusion d’un court métrage puis l’intervention du réalisateur.

  • Public : Lycéens
  • Effectif maximum : 1 à 2 classes.
  • Déroulement : 2 heures

Pour toute information contacter :
Jérôme Ters : j.ters@clermont-filmfest.org – 04 73 14 73 13


Atelier : Studios Pop-Hop – Le film noir

Atelier produit et proposé par le Far (Filmer l’Air de Rien)

Dans le cadre de sa mission de développement d’outils pédagogiques d’éducation à l’image, l’association Filmer l’Air de Rien lance en 2019 les  « Studios Pop-Hop / Bye Bye Blackbird », un outil permettant aux participants, à partir d’un scénario déjà partiellement écrit et de décors et de personnages en pop-up, de réaliser rapidement et collectivement un court film d’animation en stop-motion. Cet atelier permet également aux lycéens d’aborder des notions plus complexes de vocabulaire cinématographique et de travailler sur les questions du genre (le film noir) et du son au cinéma via des ateliers de pratique au sein de leur établissement ou lors de festivals.

  • Public : Lycéens
  • Effectif maximum : 20 élèves
  • Déroulement : module de 3 heures
  • Coût : pris en charge par la coordination Lycéens et apprentis au cinéma.
  • Inscriptions : auprès de Jerome Ters : j.ters@clermont-filmfest.org – 04 73 14 73 13

Photos de l’Atelier studio Pop Hop avec le lycée Ambroise Brugière :

 


Atelier : Les lanternes magiques

Dans notre monde hyper connecté, où chacun réalise des photos, des films avec son smartphone, plus personne ne se demande comment ces enregistrements du « réel » fonctionnent. Or, rendre les images « vivantes » a été un long processus.

En partant de l’évolution de la lanterne magique (1659) au Cinématographe (1895), il s’agit de faire un tour des techniques* qui, petit à petit, ont désacralisé la fabrication de ces images mouvantes :

  • le fonctionnement de la lanterne magique et des boîtes d’optique, les silhouettes, le théâtre d’ombre de Séraphin, les fantasmagories de Robertson, les transparents de Carmontelle, les panoramas, dioramas, le daguérréotype, le phénakitiscope de Joseph Plateau, le praxinoscope d’Emile Raynaud, la décomposition du mouvement avec les EJM : Edward James Muybridge et Etienne Jules Marey, Edison et les Frères Lumière…
  • En partant de vues pour lanternes magiques peintes à la main de la fin du XIXe siècle et une explication de leur fonctionnement, découvrez l’histoire de la lanterne magique, des colporteurs, des migrations saisonnières, des montreurs de vues d’optique, des ombres chinoises, de la fantasmagorie, des panoramas et dioramas, du daguerréotype.
  • Découvrez des grandes étapes et des grandes figures comme Plateau et son Phénakistiscope, qui est la base essentielle de la reproduction du mouvement, des nouvelles sources d’éclairage qui ont permis de faire des séances de projection devant un large public, d’Emile Reynaud et son théâtre optique, de la chronophotographie avec Muybridge et Marey, d’Edison et son kinétoscope. Puis des frères Lumière et le cinématographe, de Méliès, des forains et de la lanterne magique devenue un projecteur fixe.

 

  • Public : toutes classes et tous niveaux
  • Effectif maximum : 40 élèves
  • Déroulement : module de 2 heures
  • Intervenant : Roger Gonin
  • Coût : pris en charge par la coordination Lycéens et apprentis au cinéma.
  • Inscriptions : auprès de Jerome Ters : j.ters@clermont-filmfest.org – 04 73 14 73 13

Photo de l’Atelier Les lanternes magiques :

 


Atelier : Les bobines d’Arlequin (la projection argentique)

Depuis le Cinématographe et jusqu’à l’avènement du numérique, la pellicule a été au centre de la projection, aussi bien dans l’univers professionnel que dans la sphère privée.

De la boîte à l’écran, vous découvrirez -en manipulant les différents « trésors » du projectionniste- les rouages de la pellicule et ses évolutions, ainsi que l’incomparable éclat de l’image argentique.

 

  • Public : toutes classes et tous niveaux
  • Effectif maximum : 30 élèves
  • Déroulement : module de 2 heures
  • Intervenant : Guichard Wiss
  • Coût : pris en charge par la coordination Lycéens et apprentis au cinéma.
  • Inscriptions : auprès de Jerome Ters : j.ters@clermont-filmfest.org – 04 73 14 73 13

Photo de l’Atelier Les bobines d’Arlequin (la projection argentique) :


Atelier : Anatomie des images

Projection de courts métrages issus de la compétition Labo 2020 du festival du court métrage de Clermont-Ferrand, suivi de débats et analyses avant un travail de workshop sur chaque film qui donne lieu à une production plastique sur chaque titre.

Le concept d’Anatomie : comprendre un film et jouer avec celui-ci graphiquement pour que s’instaure un dialogue entre la note d’intention du réalisateur et le retour quelque part « critique » de l’élève anatomiste.

Ce workshop a donné́ lieu à une exposition durant le festival et à des échanges entre les élèves et les réalisateurs du labo.

  • Public : Lycéens
  • Effectif maximum : 30 élèves
  • Déroulement : module de 2x 3h
  • Intervenant : Ludovic Chavarot
  • Coût : pris en charge par la coordination Lycéens et apprentis au cinéma.
  • Inscriptions : auprès de Jerome Ters : j.ters@clermont-filmfest.org – 04 73 14 73 13

 

Photo de l’Atelier Anatomie des Images avec le lycée Saint Géraud :

 

Atelier Anatomie des images – Travaux des élèves du lycée Saint Géraud 2021/2022

 

 

 

 


Atelier : Son – Bruitages, Doublage, Sound design – Autour des studios Pop-Hop – Le film noir, recréer la bande son.

 

Atelier produit et réalisé par Sauve qui peut le court métrage : Enregistrements de bruitages, création sonore ou enregistrements de voix pour du doublage. Utilisation en autonomie du matériel d’enregistrement (micros, enregistreurs…). Initiation au montage, initiation aux différents effets (reverbération, distorsion…), comprendre le mixage.

 

Matériel : L’organisation de l’atelier est facilitée si l’établissement possède le matériel nécessaire à la vidéo-projection et à la diffusion sonore. Le reste est fourni par Sauve qui peut le court métrage.

 

  • Public : Lycéens
  • Effectif maximum : 10 à 12 élèves
  • Déroulement : Atelier de 2h (Pour une classe prévoir deux groupes 2 x 2h).

Séances spéciales et actions complémentaires

Séance scolaire du Festival international du court métrage de Clermont-Ferrand :

Le programme se compose de films choisis dans les différentes compétitions du Festival (national, international et labo) pour être exploités par les enseignants à l’aide de documents liés aux films (scénarios, story boards, etc.) proposés en ligne.

Les séances se déroulent du 31 janvier au 04 février 2022 à 9h30 à la Maison de la Culture de Clermont-Ferrand.

Prix unique : 2,50€/élève (sur réservation).

La séance scolaire donnera lieu au 24ème Concours de la jeune critique cinématographique.

Plus d’informations sur le site du Festival.


24ème Concours de la jeune critique cinématographique :

Le Concours de la jeune critique cinématographique, en partenariat avec le Rectorat de l’Académie de Clermont-Ferrand, la fondation Varenne et le magazine Bref, propose aux élèves de la 4ème à la Terminale de donner leur avis sur un court métrage de leur choix, en privilégiant un point de vue personnel argumenté. Les meilleures critiques des lauréats sont publiées dans le magazine Bref.


L’Atelier – École éphémère de cinéma du Festival international du court métrage :

L’Atelier vous projette au cœur du secret de la fabrique des films et vous invite à découvrir les métiers du cinéma. L’École éphémère du cinéma accueille les groupes scolaires pendant le festival du court métrage, du 31 janvier au 04 février 2022, sur réservation et gratuitement.

Plus d’informations sur le site de l’Atelier.

Toutes les réservations sont à effectuer auprès de Jérôme Ters : j.ters@clermont-filmfest.org – 04 73 14 73 13


Outils en ligne

Transmettre le cinéma

Une production réalisée par le LUX Scène nationale qui accompagne les dispositifs de sensibilisation au cinéma.


Le fil des images

La publication des pôles régionaux d’éducation et de formation aux images.


Transmission Impossible

Le site du pôle d’éducation à l’image Auvergne pour s’informer, apprendre, faire et expérimenter.


Focales

Le site de l’actualité de l’éducation à l’image en Auvergne.


Sur écoute

Le serious game pour comprendre le son au cinéma.


L’université Populaire des Images (UPOPI)

À la fois webmagazine et plateforme pédagogique interactive et ludique pour une sensibilisation aux images pour tous.

 

 

Outils pédagogiques

Chaque film de la sélection fait l’objet de documents pédagogiques. Ils sont élaborés par Capricci avec le soutien du CNC pour les films de la liste nationale et par l’Université Lumière Lyon 2, l’AcrirA et Sauve qui peut le court métrage avec le soutien du Conseil Régional Auvergne-Rhône-Alpes pour les films de la liste régionale.

Les dossiers enseignants comportent un générique et un synopsis du film, un avant-propos signé de l’auteur puis différentes rubriques sur le cinéaste et l’équipe du film, son histoire et ses personnages. Viennent ensuite une analyse du récit et une étude de la mise en scène, suivies de quelques pistes de réflexion, de références bibliographiques, filmographiques et d’une liste de sites à consulter.

Les fiches élèves proposent également un générique et un synopsis, la définition de quelques notions techniques, des points d’analyse, une brève présentation du cinéaste, une rubrique « en piste » visant à éveiller l’attention des lycéens sur quelques éléments importants du film avant la projection, et enfin des références à des livres, des films et des sites .

Tous ces documents, richement illustrés et documentés, permettent aux enseignants et aux élèves de préparer ou de prolonger la découverte du film en salle par une double approche culturelle et stylistique de l’œuvre. Ils sont fournis sur support numérique.

Enfin, des ressources sont proposées en complément sur le site du dispositif. Interviews filmées, revue de presse, vidéos d’analyse… Ce corpus vient enrichir la préparation des projection et l’étude des films.

 

Animations et accompagnements pédagogiques

En complément, les deux coordinations régionales, l’AcrirA et Sauve qui peut le court métrage, propose une large palette d’actions pédagogiques.

Des classes d’analyse filmique permettent d’enrichir la découverte des films. Elles ont lieu dans les établissements scolaires quelques jours après la projection en salle. Elles sont généralement effectuées par des professeurs de cinéma de l’Université Lumière Lyon 2, et de l’Université Clermont-Auvergne, des enseignants responsables de sections cinéma et audiovisuel, des formateurs de l’Éducation Nationale, des critiques, historiens du cinéma voire parfois par des directeurs de salles de cinéma ou de festivals.

Leur objectif est d’amener les lycéens à une réflexion sur les éléments constitutifs des œuvres présentées. L’approche externe du film enrichit le visionnement d’éléments culturels (présentation de l’auteur, de son œuvre, genèse du film, contexte de sa création, etc.) L’approche interne s’applique à révéler les procédés stylistiques mis en œuvre par le réalisateur. Le contenu des interventions varie, bien entendu, en fonction du niveau des élèves, de leur réception du film, du travail préalablement effectué avec leurs enseignants.

Ces interventions sont entièrement prises en charge par les coordinations de Lycéens et apprentis au cinéma.

Des ateliers pédagogiques sont également proposés. Dissociés du visionnement des films au programme, ils viennent approfondir la découverte du cinéma, nourrir la réflexion critique et le travail que peut développer l’enseignant avec sa classe.

Des rencontres avec des professionnels du cinéma sont également proposées, de façon plus épisodique et en fonction des films programmés. Ces professionnels sont généralement des techniciens ayant travaillés sur l’un des films au programme du dispositif. Leur intervention est donc soumise avant tout à leurs disponibilités professionnelles. Les coordinations vous indiqueront les films sur lesquels ce type d’accompagnement est proposé.